Les conclusions, avancées par l'édition en ligne de l'Expresso, sont tirées d'un rapport annuel du système d'alerte rapide pour les produits dangereux (RAPEX) de la Commission européenne, selon lequel les voitures occupent, juste après les jouets et avant les vêtements, une les trois premières places de la liste des produits les plus dangereux vendus dans l'Union européenne (UE), en 2017.
Un système créé en 2013, dans le but de divulguer les problèmes de sécurité des produits non alimentaires, vendus dans différents États de l'UE, le RAPEX pour 2017 identifie les automobiles comme l'un des produits faisant l'objet du plus grand nombre de plaintes.
Selon ce même rapport, malgré le plus grand nombre de plaintes l'année dernière, provenant d'Allemagne (354), d'Espagne (222) et de France (191), c'est le Portugal qui a le plus souvent cité la voiture comme motif d'avertissement. Avec 70 % des 40 plaintes déposées en 2017 concernant des problèmes avec les véhicules — à savoir, serrures de porte, frein à main et autres composants.
Les constructeurs automobiles ont également contribué
Il convient également de noter que, dans certains de ces cas, les fabricants eux-mêmes, ou les représentants des marques au Portugal, ont signalé ces mêmes problèmes aux autorités. Avec la Direction Générale de la Consommation puis le lancement de l'alerte au niveau européen. Conduisant même, selon Expresso, à retirer certains de ces produits défectueux de la circulation sur les marchés de ces pays.
