Cela fait un an depuis la présentation du concept de ce monospace et depuis on attend avec impatience de voir le « produit final ».
Aujourd'hui, on apprend que la version de série sera enfin dévoilée dans la prochaine au Salon de Genève. Alléluia! Le président et chef de la direction de Ford, Alan Mulally, aura l'honneur de dévoiler le nouveau Ford B-Max lors de ce même événement, qui sera ensuite vendu sur le marché portugais vers la fin de l'été.
Selon Stephen Odell, président et chef de la direction de Ford Europe, « Le B-MAX combine un design innovant et spectaculaire avec des caractéristiques qui n'ont été trouvées que dans des véhicules plus gros auparavant. C'est une nouvelle voiture qui répond aux besoins d'un nombre croissant de clients qui attendent beaucoup plus de leurs petites voitures. Ce sera un pari important pour la marque américaine d'attaquer un segment en expansion, qui commence déjà à avoir des modèles tels que l'Opel Meriva, la Citroën C3 Picasso, la Kia Venga et la Hyundai ix20 qui dominent le marché.
Avec plus de 11 cm de longueur que la Ford Fiesta (modèle avec lequel il partage la plate-forme), le B-MAX disposera d'un nouveau système de porte qui facilite l'accès à la cabine pour le conducteur, les passagers et les bagages, avec les piliers centraux intégrés dans les mêmes portes. Traduit par des enfants : « Il aura des portes coulissantes, identiques au Ford Transit ». En gros c'est plus ou moins ça...
Le nouveau monospace offrira également des matériaux et des finitions de haute qualité - que l'on ne trouve pas souvent dans les véhicules compacts et abordables - ainsi que des sièges flexibles et un espace de chargement qui promet d'être le meilleur de sa catégorie.
Autre nouveauté, ce nouveau modèle est l'un des premiers (avec la nouvelle Focus) à être équipé d'un moteur essence trois cylindres 1.0 litre EcoBoost avec un turbo compris entre 100 et 120 ch. L'option diesel 1,4 litre TDCi Duratorq sera également disponible.
Restez avec la vidéo promotionnelle du concept présentée l'année dernière :
Texte : Tiago Luis